Ces communautés ont une forte croyance aux pratiques des rites spirituels pour assurer un bon rendement de leurs plantations. Pour terminer, les hommes effectuaient la coupe des arbres à l’aide de petites haches de pierre taillée qu’ils utilisaient pour le chauffage. Au mois de mai, après le défrichage, les femmes nettoyaient la terre et plantaient les meilleurs grains de la récolte précédente, une dizaine de grains par monticule donnaient une récolte de 100 à 650 grains.
Cette houe aidait les femmes à briser les mottes de terre et à sarcler le sol. Un des épisodes de la Guerre franco-iroquoise, ce massacre s'accompagne de la destruction de la Huronie et s'inscrit dans le cadre des tensions commerciales autour du lucratif marché des fourrures dans le nord-est de l'Amérique du Nord.
Pendant la période végétative, pour protéger leurs récoltes des prédateurs comme les corneilles et les ratons, ils construisaient des postes d’observation au milieu des champs pour que les vieilles femmes puissent surveiller.
Cependant, la structure du village est influencée par la culture wendate : il n'existe pas de cour intérieure, la porte principale d'une maison étant orientée vers l'arrière d'une autre. Les arbres étaient d'abord coupés. L’écorçage et le brûlage des herbes et des broussailles sont parmi les tâches que comporte le défrichage.
La guerre entre les autochtones pour la conquête d’un plus vaste territoire ne date pas d’hier. Ils n’échangeaient ni avec des inconnus ni avec des ennemis.
Ensuite, ils les cassaient à l’aide de cordage. Le clan est privilégié avant tout.
Toutes les maisons sont proches les unes des autres. Cependant, s’il reste des biens après la redistribution à l’intérieur d’un clan, c’est le village au complet qui en bénéficie. Cette seigneurie se nomme Sillery et se situe dans les environs de la ville de Québec. Ensuite, elles faisaient des sillons et avec l’aide d’un petit bâton de bois, elles creusaient de petits trous pour pouvoir y planter leurs graines.
Certains bois servaient de bois de chauffage ou de construction. D’autres peuples iroquoiens de l’époque s’organisaient en confédérations.
Les Hurons-Wendats forment un réseau d'alliance avec de nombreuses communautés chrétiennes de la région, créant la Il existe quatre clans Hurons-Wendats dans la région : le clan du Chevreuil, celui de l'Ours, celui de la Tortue et celui du Loup. Un Huron ne faisant pas preuve de réciprocité envers les autres était aussitôt associé à la La règle du don servait entre autres à exclure les inégalités de société huronne.
C'est à chaque fois une fête obligatoire qui pouvait durer jusqu’à vingt-quatre heures.
Pour les autres significations, voir Dictionnaire universel d'Histoire et de Géographie, éd. Ils occupent généralement une surface de Les Hurons-Wendats formaient une confédération de cinq tribus.
Cela vient du fait que dans la culture wendate, il n'y a pas une délimitation aussi marquée entre la sphère privée et la sphère publique. Pour porter leurs grains, les femmes étaient munies d’un petit sac qu’elles portaient à la ceinture. Les femmes effectuaient tous les travaux agricoles, de l’ensemencement à la récolte, faisaient plusieurs rites spirituels pour avoir de bons rendements. Lorsqu’un village préparait la fête des Morts, il avertissait les autres tribus pour que les habitants de ces tribus puissent apporter les ossements de leurs parents et aussi pour tous ceux qui désiraient assister à cette fête. Avant Le déroulement de la fête était sur plusieurs cérémonies, mais la principale était celle de la chaudière. Il est possible de nommer des chefs de guerre, ceux-ci étant élus grâce à leur courage ou à leurs actes de bravoure.
Ils sont munis d'un bec verseur en V et leur taille varie, pouvant atteindre un mètre de diamètre. Les hommes devaient défricher constamment de nouvelles terres pour éviter de manquer de récoltes. À la fin de la saison estivale, elles effectuaient la récolte des cultures ensemencées. Le premier conseil s'occupe des affaires civiles et le deuxième des affaires militaires. Leurs villages, généralement surélevés, sont le plus souvent fortifiés avec des palissades permettant une défense efficace. La « mère de clan » (la plus vieille femme de la famille) avait la responsabilité de désigner le Grand chef et avait même autorité sur celui-ci.
C’est alors que naîtra la petite population des Hurons de Lorette« Nous te traitons d’ami puisque nous serons cause de ton plus grand bonheur là-haut au ciel : remercie-nous de tant de bons offices, car plus tu souffriras, plus ton Dieu t’en récompensera. La plupart seront réduits en L’an 1650 représente la fin du peuple huron traditionnel suite aux nombreuses attaques des Iroquois. C’est pour cette raison que certains chefs Hurons-Wendats se sont mariés avec des femmes Les Hurons-Wendats ont toujours été actifs dans le commerce. Les hommes de leur côté devaient faire les travaux plus exigeants physiquement et ceux demandant de long voyages. Les règles d’alliance et l’occupation huronne du territoire, Vol XXX, Recherches amérindiennes au Québec (2000).