Cette date permet dâétablir des statistiques homogènes. Intérêt de santé publique et études post AMM. 25/03/2013 admin Prévention, Santé Publique, 0. En cas de double codage possible du diagnostic principal selon les axes étiologie (maladie généralisée initiale) et manifestation clinique (manifestation localisée à un organe représentant en elle-même un problème clinique), le PMSI MCO, instrument médico-économique de mesure de l’activité, retient la manifestation clinique ; ainsi, par exemple, en cas d’hospitalisation pour rétinopathie diabétique, le code CIM10 du diagnostic principal sera H36.0 (rétinopathie diabétique) qui appartient au chapitre VII « Maladies de l’ ?il et de ses annexes » et non pas un code de diabète sucré avec complications oculaires (E10 à E14 suivant le type de diabète avec le quatrième chiffre égal à 3) appartenant au chapitre IV « Maladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliques » ; toutefois, ce dernier code est, en principe, noté en diagnostic associé. En cas de double codage possible du diagnostic principal selon les axes étiologie (maladie généralisée initiale) et manifestation clinique (manifestation localisée à un organe représentant en elle-même un problème clinique), le PMSI MCO, instrument médico-économique de mesure de l’activité, retient la manifestation clinique ; ainsi, par exemple, en cas d’hospitalisation pour rétinopathie diabétique, le code CIM10 du diagnostic principal sera H36.0 (rétinopathie diabétique) qui appartient au chapitre VII « Maladies de l’ ?il et de ses annexes » et non pas un code de diabète sucré avec complications oculaires (E10 à E14 suivant le type de diabète avec le quatrième chiffre égal à 3) appartenant au chapitre IV « Maladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliques » ; toutefois, ce dernier code est, en principe, noté en diagnostic associé. Dans les pays riches, le développement malheureusement considérable de lâobésité pourrait aboutir à une baisse de lâespérance de vie.Par ailleurs, le niveau de dépendance risque dâaugmenter avec lâallongement de la durée de vie, dâoù lâimportance de la notion dâespérance de vie en bonne santé, câest-à -dire avec conservation de lâautonomie le plus longtemps possible.Ce mot est utilisé essentiellement en cancérologie, et non pas en épidémiologie. Ce taux sâexprime en nombre de sujets atteints par unité de population (1000 ou 10.000, ou plus habituellement 100.000 habitants).Deux adjectifs sont associés à cette notion : morbide et morbidigène. Dans le premier cas, il désigne alors l’ensemble des maladies dont un patient souffre actuellement, et c’est alors un synonyme pour état de santé, ou a souffert dans le passé, et on peut l’assimiler aux antécédents médicaux. Câest une obligation imposée par la HAS (Haute Autorité de Santé) aux établissements de santé publics et privés, dans le cadre de leur certification ; la tenue de RMM sâimpose également aux praticiens inscrits dans une démarche personnelle dâaccréditation.En pratique, cela consiste en une analyse collective et rétrospective des dossiers dans lesquels on a observé des complications ou un décès inattendu, ou même simplement des évènements indésirables qui auraient pu être péjoratifs pour le patient: bref, à chaque fois que les choses ne se sont pas passées comme prévuLe but d'une RMM nâest pas de chercher des responsabilités, mais d'identifier des pistes pour améliorer les pratiques.La notion dâespérance de vie découle directement de celle de taux de mortalité.
Les résultats de « morbidité hospitalière » présentés dans les tableaux reposent sur l’exploitation du diagnostic principal défini, à la fin du séjour du patient, comme étant celui qui a mobilisé l’essentiel de l’effort médical et soignant. Un indicateur de santé est une variable que l’on mesure et qui permet de décrire l’état de santé … En épidémiologie, le taux d'incidence rapporte le nombre de nouveaux cas d'une pathologie observés pendant une période donnée - population incidente- à la population dont sont issus les cas (pendant cette même période)- population cible -. 5. Au singulier, le terme est plutôt générique, et fait référence au fait de souffrir de plusieurs maladies en même temps ; au pluriel, il désigne lâensemble précis de ces affections associées.Ce mot est très employé dans le codage des séjours hospitaliers (DIM, ou Département de l'Information Médicale) : on prend en compte, pour le codage, lâaffection qui a motivé lâhospitalisation, que lâon nomme diagnostic principal, auquel on adjoint des comorbidités (diagnostics associés) qui viennent éventuellement majorer la lourdeur du séjour. Lâenveloppe budgétaire que la structure (tant privée que publique) touchera de la Sécurité Sociale pour le séjour du patient sâen trouvera éventuellement majorée. Les différentes composantes de la morbidité réelle [1] JAMMAL A., ALLARD R., LOSLIER G., Dictionnaire d’épidémiologie, 1988, Edisem/Maloine [2] BRUCKER Gilles, FASSIN Didier, Santé publique, 1989, Ellipses. En effet, les progrès de la médecine et de lâhygiène augmentent lâespérance de vie, notamment dans les pays les plus riches, mais dâautres facteurs comme les guerres, les catastrophes naturelles ou les épidémies la diminuent, surtout dâailleurs dans les pays les plus pauvres.